Retour de la NCDR Paris : quelques constats qui m’ont marqué 👇 1 - Les recruteurs internes ne coupent pas à 18h. Ils font aussi des entretiens le soir… et eux aussi finissent en burnout. (un entretien à 21h30 😭) 2 - On ne dit pas « j’ai pas eu le temps », mais « j’ai priorisé autre chose ». Exemple : prioriser un poste dont le manager fait des retours rapides. Toujours un bon rappel ça 3 - On n’est pas obligés de tout faire. Répondre à 120 candidatures qualifiées ou gérer 3 closings dans la semaine, c’est déjà énorme. Pas besoin d’ajouter du sourcing, de la com LinkedIn et des relations écoles en même temps. 4 - Quand une BU dit que « le recrutement fout rien », c’est souvent les mêmes qui disent que « le marketing fout rien ». On est pas obligé d'en faire autant. Les autres BUs c'est des collègues en fait. Merci Coralie Nohel 5 - Poster sur LinkedIn, c’est aussi défendre la valeur de son travail en interne. Tes collègues voient tes posts et se disent « il/elle recrute bien ». 6 - Ce qui m’a choqué : en 2025, on peut encore te prendre pour « démissionnaire » juste parce que tu postes sur LinkedIn. 7 - Consensus dans ma salle : mes posts avec ma Goldinette en photo sont très bien. Mais les posts politiques de Ian Daniszewski, eux, ont été jugés « pas pros » (sûrement parce qu’il est de gauche). 8 - Et le moment le plus fort : Jean-Michel 🕵🏻‍♂️ Fayard a mis les pieds dans le plat. Travailler sur un brief de poste discriminant, ça génère une vraie charge émotionnelle. Tu sais que c’est injuste… et c'est dûr de quand même avancer. Personne n’a osé le contredire. Gros blanc. Et c’était génial : le silence, c’était aussi une façon d’admettre que le problème existe. 🖤 Bref, la journée m’a rappelé que le recrutement, c’est beaucoup de priorités, de perceptions… et aussi de politique interne. Merci L'École du Recrutement et à tout le monde. Continuez d'être géniaux !